• Intérieur pourri

    Intérieur pourri...


    La mer s'est vidée d'une terre en fissures
    Vert est devenu brun, brun est devenu noir
    Et ce matin j'ai cueillis de ces belles mûres
    Qui hantent mes pensées, goût sur d'un soir.

    Mon corps aux ailes froissées tremble de froid
    Cachée dans un coin, j'ai peur de ses fantômes
    Un silence...des corbeaux se posent sur mon toit
    Je serre fort mon amulette dans ma paume...

    Et des larmes coulent, je n'ose relever la tête
    Paralysée dans cet espace exigu, garrottée
    Mon âme survole au-dessus de cette crête
    Rejoignant la mort, laissant mon corps saigner...</cenrter />

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